Au début de la saison 16-17 de l’Opéra national de Paris, Anja Harteros fut une divine Tosca à Bastille et le public lui avait réservé un accueil triomphal, conquis par sa sublime interprétation de l’œuvre de Puccini. Après des représentations de Tannhauser à Munich, celle qui se fait rare dans la capitale française offrait, ce dimanche 18 juin au Palais Garnier, un récital de lieder homogène et maîtrisé, proche de la perfection. Sans aucun artifice, celle qui est parmi les plus belles voix lyriques actuelles était accompagnée au piano par l’excellent Wolfram Rieger, impressionnant de précision dans chaque conclusion. Retour sur une éblouissante soirée.
Derniers articles de Chronique
Créé en 2022 à Berlin au Deutsche Oper, et donné en première française le 5 avril…
Le Théâtre des Champs-Elysées a programmé « Atys », le chef d’oeuvre de Jean-Baptiste Lully, en version de…
Troisième spectacle de l’édition 2024 du Festival de printemps de l’Opéra de Lyon intitulé « Rebattre les…
L’édition 2024 du Festival de printemps de l’Opéra de Lyon s’ouvre avec une nouvelle production de…
Deuxième ouvrage à l’affiche de l’édition 2024 du Festival de printemps de l’Opéra de Lyon, La…