Sung-Won Yang
Sung-Won Yang © Sang-Hoon Park
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Beethoven, de Bonn à Beaune, entretien avec Sung-Won Yang

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Nous avons rencontré le violoncelliste Sung-Won Yang quelques jours avant le festival Beethoven qui se déroulera à Beaune du 26 au 28 avril prochains.

Sung-Won Yang évoque la programmation de ces trois journées, dont les programmes tourneront autour de la figure de Beethoven, avec des quatuors, par le quatuor Mosaïque et d’autres oeuvres de musique de chambre interprétées par les pianistes Emmanuel Strosser, François-Frédéric Guy et Enrico Pace, Sung-Won Liang et le violoniste Guillaume Sutre. Coréen, Sung-Won Yang évoque également son itinéraire,  son arrivée en France à l’âge de 14 ans, ses maîtres, et particulièrement Janos Starker, le premier interprète qui le bouleversa, et dont il devint plus tard l’assistant. Il nous parle également de ses deux enregistrements des suites de Bach pour violoncelle seul, et des oeuvres de Liszt et Chopin qu’il a enregistrées aux côtés d’Enrico Pace (Decca).

 

 

Le site du festival Beethoven à Beaune

Avocat, chargé de la programmation des concerts de musique classique pour le Musée d'Art et d'Histoire du Judaïsme, réalise des interviews depuis une dizaine d'années pour différentes radios. A une passion (avouable) pour Audrey Hepburn, Jacques Becker, Ernst Lubitsch, Billy Wilder, et (inavouable) pour Jerry Lewis. Quatre films au pinacle de sa cinéphilie: "Ariane" (avec Audrey Hepburn), "Edouard et Caroline" (de Jacques Becker), "Vertigo" (Hitchcock) et "Le Pigeon" de Mario Monicelli.

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