A l’occasion de la parution d’un CD consacré aux six quatuors op. 18 de Beethoven (Harmonia Mundi), l’altiste Ori Kam, du Jerusalem Quartet, souligne la difficulté d’aborder cette musique. Il évoque leurs vingt ans de carrière, ainsi que “l’autre” Himalaya du quatuor : ceux de Bartok, dont paraîtra bientôt un enregistrement. Il parle du rôle de l’alto dans le quatuor et du répertoire.
Entretien du 9 novembre 2015