A l’occasion de leur nouvel enregistrement, Arthur Ancelle et Lumdila Berlinskaya nous parlent du piano à quatre mains, de leur travail ensemble et de leurs répertoires respectifs lorsqu’ils jouent en solo
A l’occasion de la parution d’un très beau et très étonnant enregistrement (chez Melodya), Arthur Ancelle et Lumdila Berlinskaya se sont livrés à notre micro.
Le CD est consacré à la Sonate pour piano de Franz Liszt, transcrite pour deux pianos par Camille Saint-Saëns, et à la Danse macabre de ce dernier, dans la version pour deux pianos du compositeur et dans une version pour deux pianos signée Liszt, Horowitz et Arthur Ancelle.
L’enregistrement comprend également une transcription pour deux pianos d’Après une lecture du Dante, de Liszt, par Arthur Ancelle, à propos de laquelle celui-ci s’explique.
Ils parlent du répertoire pour deux pianos, du concert qu’ils donneront le 10 janvier prochain à la Salle Cortot, qui reprend une partie du programme du disque, outre des oeuvres de Debussy et Dukas, transcrites pour deux pianos.
Ludmila Berlinskaya évoque également la figure de son père, le légendaire Valentin Berlinsky, violoncelliste fondateur du tout aussi légendaire quatuor Borodine, ainsi que Sviatoslav Richter qu’elle a bien connu.