Nous avons rencontré la mezzo soprano Viorica Cortez et la pianiste Alina Pavalache à propos du génie de Georges Enesco
Viorica Cortez — qui s’est illustrée dans les plus grands rôles de mezzo soprano, dans les plus grands opéras, aux côtés des chanteurs les plus talentueux, dans des productions dirigées, entre autres, par Georg Solti, Georges Prêtre, Claudio Abbado, Riccardo Muti, et mises en scène, parmi d’autres, par Giorgio Strehler, Peter Ustinov — est la présidente la Société Musicale Française Georges Enesco.
Elle participera aux rencontres Musicales Internationales “Georges Enesco”, qui se tiendront du 9 au 19 octobre prochains à Paris, notamment salle Colonne. Alina Pavalache, pianiste, assure la direction artistique de ces rencontres, au programme foisonnant, entre le concours international de chant, un festival de musique française et roumaine des 20ème et 21ème siècles, une exposition de photographies documentaires et une exposition de photographies artistiques.
Cette année, les rencontres rendront hommage à Dinu Lipatti, non seulement l’inoubliable pianiste qu’on connaît, mais également compositeur très talentueux, dont sera notamment donnée la symphonie concertante pour deux pianos et orchestre à cordes. Alina Pavalache jouera le 16 octobre, aux côtés des lauréats du concours international de chant Georges Enesco 2016. Concert auquel participeront également Léontina Vaduva et Viorica Cortez et le ténor Daniel Magdal. Viorica Cortez revient sur quelques moments phares de son parcours, et sur le rôle de Carmen, si souvent caricaturé, auquel son nom a été tant accolé.