Nous avons rencontré le pianiste Philippe Entremont à l’occasion de la parution d’un CD consacré à Schubert
Philippe Entremont, qui vient de faire paraître la sonate en si bémol majeur, D 960, et la Fantaisie en fa mineur pour piano à quatre mains, (cette dernière aux côtés de Gen Tomuro) pour le label Solo Musica, revient longuement sur ces deux chefs d’oeuvre.
Des oeuvres qu’il n’avait jamais enregistrées, alors même que sa discographie est pléthorique. Il évoque certaines des grandes rencontres de sa vie artistique, Eugène Ormandy, Leonard Bernstein, Darius Milhaud, André Jolivet, Gaby Casadesus, sa carrière de chef d’orchestre, à la tête, notamment de l’orchestre de chambre de Vienne, et de l’orchestre de chambre d’Israël.