Torsten Kerl
Torsten Kerl © Bettina Stöß
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En attendant Tristan, entretien avec Torsten Kerl

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Le ténor Torsten Kerl, en ce moment à Paris pour les représentations de “Tristan et Isolde” de Wagner, se dévoile au micro de Frédéric Hutman.

 

“Je ne comprends pas cette association du bel canto avec Bellini et Verdi et du cri avec Wagner. Chanter est un art Lyrique, l’art du chant et pas de la parole, autrement on devient un acteur” – Tosten Kerl

Quelques jours avant les représentations de “Tristan et Isolde” de Richard Wagner au Théâtre des Champs Elysées (du 12 au 24 mai prochains), le ténor Torsten Kerl évoque la notion, qu’il conteste, de “ténor wagnerien” et sa vision du rôle de Tristan.
Il parle également de Daniele Gatti, qui dirigera l’Orchestre national de France et de René Kollo qui fut “le” Tristan du célèbre enregistrement dirigé par Carlos Kleiber.

La discussion se termine autour de “La ville morte” de Korngold, des lieder de Korngold et Zemlinsky et de… Verdi. Interview en anglais.

Le site officiel de l’artiste

Avocat, chargé de la programmation des concerts de musique classique pour le Musée d'Art et d'Histoire du Judaïsme, réalise des interviews depuis une dizaine d'années pour différentes radios. A une passion (avouable) pour Audrey Hepburn, Jacques Becker, Ernst Lubitsch, Billy Wilder, et (inavouable) pour Jerry Lewis. Quatre films au pinacle de sa cinéphilie: "Ariane" (avec Audrey Hepburn), "Edouard et Caroline" (de Jacques Becker), "Vertigo" (Hitchcock) et "Le Pigeon" de Mario Monicelli.

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